indécence du bailleur au 7 rue Jean Macé

Aujourd'ui Lundi de Pâques il est des gens qui vont chercher les oeufs par tradition et il en est d'autres qui par ce qui devient une mauvaise tradition sont en quête désespérée d'un dépanneur d'ascenseur...

Comment lutter contre l’indécence d’un bailleur qui laisse, qui abandonne ses locataires les trois jours durant d’un long week-end Pascal face à la panne d’un ascenseur dans un immeuble de 18 étages et cela malgré tous les appels possibles des locataires, du gardien et du maire d’astreinte saisi du problème ? Au 7 rue Jean Macé on ne voit rien venir. Malgré les appels pressants le bailleur ne fait aucune pression sur la société de maintenance pour rétablir la situation et permettre à chacun d’éviter la pénible contrainte d’une ascension haletante, épuisante dans une cage d’escalier sordide. Je suis intervenu à plusieurs reprises et les promesses d’intervention n’ont pas été tenues. Le gardien s’est également heurté à un mur d’indifférence. Accablé par un tel comportement je me suis rendu sur place pour constater qu’effectivement certains locataires âgés ont du se résigner à ne pouvoir rejoindre leur appartement situé à un étage trop élevé. Un locataire handicapé par un peace-maker qui s'était absenté de son domicile s'est réfugié chez un voisin pour s'éviter l’épreuve d’un essoufflement dommageable pour sa santé. Je le comprend ! Les habitants sont en colère. Le bailleur abandonne ses prérogatives d’assistance ou du moins porte une certaine négligence ou se conforte dans une lenteur de réaction inacceptable! Et les locataires ont le sentiment d’être abandonnés à l’indifférence ! Quand à moi je rejette cette indifférence apparente et je vais demander dès mardi en Bureau Municipal que Monsieur le Maire porte à la connaissance du Président de cet Office, un ami élu du département, le désarroi de ces locataires abandonnés trois jours durant d’un long week-end et livrés à l’incurie d’un système dont assurément le vivre ensemble n’est pas le credo!